20 souris obxe8;ses (ob/ob) traitxe9;es 5 semaines avec ou sans prxe9;biotiques (n = 10/groupe). Le microbiome est analysxe9; par 4 techniques: 1e pyro-sxe9;quenxe7;age, 2e Mouse-Intestinal-CHIP-array, 3e DGGE et 4e PCR-quantitative ; toutes ses techniques sont basxe9;es sur l’analyse de l’ARN 16S-ribosomal (16SrRNA). De plus, nous avons xe9;tudixe9;s l’homxe9;ostasie du glucose, l’inflammation, le stress oxydatif et la barrixe8;re intestinale.
Les analyses multivarixe9;es (“heat-map profile”, “dendrogram”, et analyse en composantes principales) rxe9;vxe8;lent deux clusters distincts dxe9;pendant des traitements nutritionnels. Le sxe9;quenxe7;age et le microarray (soit plus de 72 000 sxe9;quences bactxe9;riennes) mettent en xe9;vidence des changements drastiques du microbiote par les prxe9;biotiques, avec 102 sxe9;quences 16S-rRNA significativement modifixe9;es dont 16 taxa bactxe9;riens sont changxe9;s plus de 10 fois (8 diminuxe9;s et 8 augmentxe9;s). En outre les prxe9;biotiques diminuent la permxe9;abilitxe9; intestinale, l’inflammation, le stress oxydatif et l’intolxe9;rance au glucose, ces phxe9;nomxe8;nes sont associxe9;s xe0; une augmentation de la diffxe9;rentiation des cellules souches intestinales en cellules entxe9;roendocrines de type-L. Enfin, nous montrons de nettes corrxe9;lations entre certains paramxe8;tres mxe9;taboliques et des bactxe9;ries jusqu’alors jamais identifixe9;es dans ce contexte.
En xe9;tablissant le profil complet du microbiome de souris obxe8;ses traitxe9;es ou non avec des prxe9;biotiques, nous avons identifixe9;s de nouvelles cibles bactxe9;riennes qui faxe7;onnent le mxe9;tabolisme de l’hôte.